mercredi 19 février 2014

BRUYÅNT ?! Non BRÅKIG

Tout a commencé chez le coiffeur... Quand j'ai découvert au détour de je-ne-sais quel magazine féminin (que je ne m'abaisse jamais à acheter, mais que je lis avec frénésie dès que je me trouve chez le coupe-tifs) que Ikéa créait une collection capsule appelée Brakig, composée d'objets inspirés du design suédois des années 50 - 60, dans de jolies couleurs pastel ! (trobien que je me suis dit) Trobien !


Le lendemain, j'en parle à une copine, Simone*, qui aime le même style de design... Et là... Là l'hystérie a commencé.
Laissant notre cerveau de côté (A deux, l'effet décérébré est encore plus fort), nous voilà, regardant tout ce que contient Google Image de la collection, tout en commençant à paniquer... Car qui dit capsule (ne dit pas forcément vaisseau spatial), mais limité dans le temps, et alors même qu'elle venait d'être installée, nous visualisions déjà les rayons vides, pris d'assaut par de plus rapides que nous...


Hiiiiii j'suis sûre qu'il reste plus rien !

Bon, en plus, on n'avait pas trop envie de travailler. Alors Simone a commencé à harceler de coups de fil son père qui travaille chez le Suédois, pour être certaine que la collection avait bien été mise en place en Suisse, et si oui, dans quels rayons exactement, et les prix, et les couleurs, et toussa toussa... Tandis que j'apprenais à me ronger consciencieusement les ongles.

Nous savions désormais que nous ne trouverions le repos qu'après être passées en caisse, avec tout ou partie de la collection...
Nous avons donc décidé d'y aller le lendemain, car c'était la nocturne (si vous voulez tout savoir), mais dans deux magasins différents, histoire de corser un peu l'histoire quand même. (En synchronisant nos montres, et en se tenant au courant par whatsApp si notre plan foirait)

Pourtant, le sort décida de s'acharner contre moi, car tandis que Simone m'envoyait des messages whatsApp effrénés afin d'exhiber la totalité de ses achats (Elle a dû tout acheter en triple au moins !), je m'aperçus qu'ils n'avaient pas encore déballé la collection là où je me trouvais.
Tristesse, désarroi, tristitude même ! Fort heureusement, j'étais avec mon amie Demetra**, qui est bien plus dégourdie que moi (C'est elle le cerveau de la bande, et en plus elle joue dans Amouur Gloire et Beauté avec un nom pareil), et qui m'entraîna derrière les rideaux interdits au public afin de piocher dans la collection en cours d'installation. (Même que j'aurai été seule, que j'aurai jamais osé !)
Et là... Carnage, c'était pas beau à voir... On a failli TOUT prendre, même les cloisons qui faisaient pas partie de la collection...

Je suis ensuite rentrée chez moi, avec un sentiment de plénitude. Enfin en paix avec moi-même... Et surtout avec plein de tasses, et des bols... et des tasses.


Hiiiiiii ! mais que c'est trop bôôôo !

Depuis, j'ai récupéré mon cerveau. Enfin je crois.


*Sauras-tu te reconnaître derrière ce joli pseudonyme ?!
**Sauras-tu te reconnaître derrière ce joli pseudonyme ?! (j'ai beaucoup ri en choisissant ton pseudo !!)

2 commentaires:

  1. mais ouiiii j'ai enfin compris comment laisser un com! mieux vaut tard que... bref blonde!
    a quand le prochain craquage/ delire shopiesque ?
    ta demetra :)

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    1. hiiiiiiiiiiii !
      Ca fait plaisir ! ben je viens de trouver deux tabourets mortels sur ebay... Il faudra que je te montre, ou alors sur le blog !
      Et Simone vient justement de me parler d'une future nouvelle collection Ikea super bien aussi... Bref, il faut qu'on se voit ! Bises ma Demetra !

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